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The Book Of Ivy Quotes

The Book Of Ivy by Amy Engel

"De nos jours, plus personne ne porte de robe blanche à son mariage."
"Serai-je capable d'accomplir mon devoir ? Je n'ai pas le choix, je le sais."
"Les mariages sont célébrés le deuxième samedi de mai."
"Lorsque nous parvenons sur le trottoir devant la mairie, certains commencent à se retourner, à faire signe à mon père."
"Souris ! me souffle Callie à l'oreille. Tu as une grimace collée sur le visage."
"Mais cette journée-là a une tonalité plus sombre."
"Le père du président Lattimer était assez intelligent pour le savoir : la paix ne dure que tant que le camp des mécontents a encore quelque chose à perdre en cas de révolte."
"Il est donc important de procréer, et le plus tôt le mieux."
"C'est très joli, me dit-elle. Ça te va bien."
"Je sais où je vais coucher ce soir, et ce ne sera pas dans les draps que j'ai quittés ce matin."
"— Ivy... Nous sommes très heureux de t'accueillir dans notre famille."
"Ma mission n'est pas de le rendre heureux, de porter ses enfants et d'être sa femme. Ma mission, c'est de l'assassiner."
"Mais je sais que mes paroles ne lui seront d'aucun réconfort."
"Je sais que cette harmonie est fragile, qu'elle ne tient que par quelques minces liens en lambeaux qui tombent en poussière en cet instant même."
"Je vais devoir me rendre au plus vite au marché pour voir si elle m'a laissé un message."
"Je ne suis pas comme elle, cependant. Malgré ce qu'on m'a enseigné, je sais que s'il essaie de me toucher, de m'ôter ma robe, je lutterai."
"Je m'efforce de faire taire la colère qui bat dans mes veines comme un poison pernicieux."
"Les seuls à franchir la barrière, ce sont ceux qui y sont forcés, expulsés en punition de leurs crimes, réels ou perçus comme tels."
"Je sais que je ne peux pas rester dans cette maison toute la journée, à me tourner les pouces, ou alors je deviendrai folle."
"Rien de ce genre n'est arrivé depuis que je suis née, en tout cas."
"Mais au marché, j'avais l'impression de faire partie d'un ensemble plus grand, d'une communauté qui avait de l'affection pour moi."
"Pour quelqu'un venu de l'extérieur, ce marché-ci ressemblerait sans doute en tout point à celui que je fréquentais, mais il m'est étranger."
"Je sens le marché avant de le voir. L'odeur de pommes, de légumes blets et de terre fraîche flotte dans l'air."
"Il n'y a pas de seconde chance. Si on revient après avoir été expulsé, la sanction est la peine de mort, sans exception."
"Je me sens soudain abattue. Pourtant, je ne peux pas me permettre d'être découragée."
"Je suis submergée par une soudaine vague de colère contre ma sœur."
"Il remplace les ordres par le silence, la violence par la patience, les airs supérieurs par ce qui ressemble à... de l'empathie."
"Je ne sais pas quoi dire, donc je ne réponds rien."
"Je n'ai jamais eu d'enfants... me répond-elle doucement."
"Mais je ne peux pas m'en empêcher. Nous avons une bibliothèque publique en ville, mais il y a tant d'usagers pour si peu de livres que mettre la main sur un ouvrage intéressant peut prendre des mois."
"Se mettre en colère contre quelque chose qu'on ne peut pas changer, c'est inutile."
"Je pense qu'il n'y a rien qui ne puisse pas être changé, si on le désire suffisamment."
"Je pense que parfois, la situation n'est pas aussi simple que nos pères voudraient nous le faire croire."
"Nous sommes toujours libres de choisir qui nous voulons être."
"Ce n'est pas les lois de ton père qui vont suffire."
"Parfois je me dis qu'on devrait en finir avec cette barrière. Dans le temps, les villes n'étaient pas clôturées, et tout se passait bien. Pour moi, elle était censée nous protéger, mais en fait, elle nous a rendus peureux."
"Nous ne sommes pas nos parents, Ivy. On n'a pas à être d'accord avec tout ce qu'ils défendent."
"Mais il n'y a quasiment plus d'activité à proximité de nos jours, en tout cas pas juste à côté. Seulement les expulsés, et c'est rare qu'ils essaient de revenir à Westfall. Ils doivent préférer tenter leur chance au-dehors plutôt que de revenir ici se jeter dans les bras de la mort."
"Que le mariage soit arrangé ou non, ça arrive. Si le type est à la base un salaud, la façon dont ils se sont retrouvés mariés ne change rien."
"Mais à mon avis, c'est facile de croire que parce que nous sommes leurs enfants, parce qu'ils ont ces responsabilités, nous leur devons plus que de raison. Et c'est un piège."
"Ce n'est pas de la sympathie. C'est se montrer humain, rien de plus."
"Je veux juste leur donner une chance, je crois. À ceux qui la méritent, en tout cas."
"J'y travaille encore, mais je m'en approche."
"Personne ne m'avait prévenue à quel point ce serait épuisant."
"Plus que deux ou trois semaines, heureusement ! On commence à avoir hâte de rencontrer notre petit bonhomme ou notre petite fille."
"Tu veux que je t'apporte quelque chose, ma chérie ?"
"Je suis tellement impatiente d'avoir un bébé !"
"Nous sommes encore enfants de tant de manières, et pourtant nous jouons au papa et à la maman !"
"Les enfants sont ce qu'il y a de plus précieux et, si on le peut, on en a."
"J'avais remarqué, répond Bishop d'une voix douce. Et j'aime bien."
"Si tu me touches, je veux que ce soit parce que tu en as envie, pas parce que des gens nous regardent."
"Je ne doute pas que tu sois capable de lui fiche une raclée."
"Le mariage, ce n'est pas tous les jours facile."
"La liberté, on l'avait avant la guerre. Et regarde où ça nous a menés."
"Je n'aurais pas... Je ne t'aurais pas touchée."
"Ce n'était pas excessif. Je ne suis pas une grande spécialiste, mais ça m'a paru parfait."
"Tu es magnifique, mais ce n'est pas une nouvelle."
"Il y a toujours moins de temps qu'on ne croit, Bishop. Alors, ne le gaspillez pas."
"Tu es facile à déchiffrer, Ivy, mais ton livre est compliqué."
"Je suis terrifiée de ce qu'il pourrait dire, des mots qui ne pourront jamais être ni retirés ni oubliés. Des mots qui me feront trop mal à entendre."
"Je m'éloigne d'elle avant d'agir d'une façon que je pourrais regretter, comme lui hurler à la figure ou la gifler pour faire disparaître sa petite moue dubitative."
"Il commence à reculer, et j'accroche la main dans ses cheveux pour le retenir, je pose mon front contre le sien. Nos souffles se mêlent, nos lèvres toutes proches."
"Elle ne dit rien de l'amour de Bishop pour la nature ou de ses rêves d'océan."
"Je joue des coudes dans la foule pour retourner dans la maison. Je ne sais même pas vers où je me dirige, mais du moment que c'est loin de Callie..."
"C'est une erreur que n'importe qui pourrait commettre. Elle me permettra de gagner un temps précieux et d'essayer de trouver quoi faire avant même qu'ils ne se rendent compte que j'agis."
"Je l'étreins en retour, le menton sur son épaule. Bishop est au bout du couloir et sourit lorsqu'il me voit. Je ferme les yeux et mon nez s'emplit de l'odeur familière de mon père : feu de bois et vieux papier."
"Je suis contente que toute ma personne soit aussi à l'ouest que ma voix."
"Le silence se déroule dans la chambre sombre et c'était peut-être idiot de poser la question, mais je ne le regrette pas."
"Je veux que mon amour soit plus grand que ma haine, ma miséricorde plus forte que mon désir de vengeance."
"Mais pour survivre, seule et de l'autre côté de la barrière, il me faudra user de toute mon énergie."
"Une fois, Bishop m'a demandé qui je voulais être. Je crois que maintenant, je connais la réponse. Je veils être une personne assez forte et courageuse pour prendre des décisions difficiles. Mais je veux être assez juste et aimante pour prendre les bonnes."
"Je ne veux pas terminer comme la fille morte. Je ne veux pas baisser les bras comme ma mère."
"Je suis peut-être sa fille, mais je ne suis pas elle."
"Fille. Épouse. Tueuse. Traîtresse. Ce sont toutes d'anciennes versions de moi. À partir de maintenant, je deviens une survivante."