The Sister Quotes
"Je descends de voiture portée par des jambes que le chagrin alourdit."
"J’ai l’impression d’être observée. Mon cœur s’emballe : ce ne sont pourtant que deux lapins qui jaillissent devant moi et détalent, effrayés par mon téléphone."
"Les souvenirs de ma dernière visite me reviennent avec une brutalité telle que j’en ai le souffle coupé."
"Je commence à penser que j’ai pris la mauvaise bifurcation, quand j’arrive à la clairière avec l’arbre frappé par la foudre."
"Je sais que je n’arriverai pas à tourner la page sinon."
"Pourtant… connaît-on jamais vraiment les gens ?"
"Je résiste à la tentation de rentrer chez moi pour ne revenir que demain matin, me souviens de la raison de ma présence ici et me force à avancer."
"Malgré les températures plus que fraîches de janvier, j’ai chaud."
"Suis-je vraiment responsable ? Suis-je toujours responsable ?"
"« J'ai l'impression que les murs veulent me griffer ! »"
"« Je n'y ai plus pensé. Sauf que deux semaines plus tard à peu près, lorsque je suis allée la chercher à l'école, Mlle Johnson, son institutrice, a demandé à me parler. »"
"« Elle m'a rendu mon vibromasseur dans un sac de supermarché. J'ai failli mourir de honte. »"
"« On peut effacer la présence physique de quelqu'un tellement rapidement, même si son souvenir, lui, s'attarde jusqu'à la fin des temps... »"
"« Tu sais que j'ai bu mon premier verre de vin ici, Lexie ? Charlie m'a dit que c'était du sang et m'a mise au défi de l'avaler. »"
"« Elle a tenté de leur refiler mon cannabis... »"
"« J'ai bien apprécié le gaz analgésique, par contre. »"
"Il n’y a rien à dire, aucun mot ne rendra la situation moins difficile."
"Le vase en plastique noir que j’avais rempli la dernière fois est plein d’eau stagnante et de roses rouges fanées."
"Je ne sais pas si Lexie m’a entendue. Elle ne semble pas remarquer mon absence."
"J’aimerais réussir à lui expliquer que la première visite est la pire, mais je ne peux pas parce que ce n’est pas vrai."
"L’endroit est aussi noir et sinistre que le trou laissé par Charlie dans nos existences."
"Je ne suis pas revenue depuis l’enterrement, Grace, c’est horrible."
"Des centaines de personnes portent des manteaux noirs."
"Il y a une poubelle jaune, à l’arrière de l’église, réservée aux fleurs fanées."
"Tu as faim ? Anna remplit un bol de son épaisse soupe."
"Je ne mérite pas ta gentillesse, ajoute-t-elle."
"Mes yeux se sont ouverts d’un coup. Le jour que je pensais ne jamais voir arriver était là."
"Les femmes de nos jours sont trop minces, a observé mamie. Tu as la silhouette idéale."
"J’ai eu l’impression que mon corps flottait tout à coup, qu’il se serait envolé si Dan ne m’avait pas retenue."
"Avec la lampe torche de mon iPhone, j’éclaire Brian le nain de jardin, décoloré et ébréché, condamné à pêcher jusqu’à la fin des temps, avec un sourire grimaçant."
"Regarde un peu, chérie, comme je suis belle."
"Si la clé est toujours là. Je la retourne dans ma main avant d’ouvrir la porte."
"Je suis sur le point de partir et referme déjà la porte quand je pense aux chaussons."
"Charlotte Elizabeth Fisher, née le 1er septembre 1990."
"Pourquoi ne réponds-tu pas à mes lettres ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Pourquoi tu ne m’as pas gardée ?"
"Je sais que tu étais là quand je suis venue, pourquoi ne m’as-tu pas ouvert ? As-tu la moindre idée du prix que m’a coûté ce foutu billet de train ?"
"J’ai tellement hâte qu’on forme à nouveau une famille. Je n’ai jamais rien voulu d’autre. J’en rêve depuis TOUJOURS !!!"
"Tu crois que tu peux faire comme si je n’existais pas ? Tu te plantes, mais à un point…"
"Pour votre sécurité, personne ne doit être au courant."
"Je suis désolée pour hier, mais c'était nécessaire pour votre couverture."
"Ça va vous plaire. On va bien se marrer en débrief, tous les deux!"
"Je sens que je vais bien me marrer, ça va me changer des trottoirs de Paris!"
"Je préfère encore aller me faire castrer dans ce putain de centre psy."
"Je vais avoir plein d'histoires à vous raconter avec votre casting!"
"Vous êtes vraiment lourd ou vous le faites exprès?"